3 juillet 2009, vous vous souvenez où vous étiez ce jour-là ? Moi non plus. Mais je sais que je découvrais pour la première fois Lungs, le premier album de Florence + The Machine. C’était un bel OSNEI (Objet Sonore Non Encore Identifié) qui allait devenir l’une de mes pépites préférées.
Un doux mélange
Décrire l’impact de Florence + The Machine passe par la vibration de la voix de Florence Welch qui vient à chaque fois résonner en moi comme aucune autre. Comme un musicien qui trouve la note juste et laisse vibrer la corde pour créer cette onde de douceur, cette tessiture vient toujours au coeur de mes émotions pour créer un merveilleux décor. Vraiment, ça fonctionne à tous les coups et uniquement pour la voix de Florence (pour le moment).
Outre cette fabuleuse voix puissante qui tient des notes plus longues qu’une minute sans aucun problème, on trouve la Machine. Les musiciens qui accompagnent notre chanteuse avec des instruments qui sont à la fois courants et hors du commun. On trouve forcément une batterie, des guitares et une basse pour le rythme et le côté assez rock des compositions mais elles sont accompagnées par une harpe des violons ou encore des claviers inspirés. Tout cette joyeuse fanfare crée un environnement dans lequel l’esprit -torturé, il faut l’avouer- de Florence peu gambader librement et nous livrer des chansons qui, dix années plus tard, n’ont pas pris une ride et ont gardé leur fougue et leur originalité.
Une tracklist efficace
La tracklist comporte des titres qui pris séparément pourraient se classer dans des genres bien distincts mais qui forment ensemble un bel album.
Aucun commentaire